Semaine du 15 au 21 décembre

J’ai l’impression de me répèter mais cette fois encore ma semaine n’a pas été très remplie!

Dimanche : Repos
Lundi : Repos (Le chef a eu la bonne idée de nous coller une réunion de 12h à 12h30, juste ce qu’il faut pour que je ne puisse pas aller à la gym!)
Mardi : Repos
Mercredi : Gym (45 min)
Jeudi : Repos
Vendredi : Repos (Dernier repas avec mes collègues je me suis sentie obligée de sécher la gym ^^)
Samedi : Gros rattrapage : 8km de course en 49min. Sortie super agréable, il faisait bon et il n’y avait pas énormément de monde dans le parc (merci les vacances!). Pour la première fois j’ai réussie à faire deux tours complets du parc. C’est un peu étrange mais j’avais la sensation de me sentir beaucoup mieux pendant le deuxième tour, ma respiration plus était plus aisée, il me faut probablement un peu de temps pour trouver mon rythme.

Je suis en vacances pour les deux prochaines semaines, j’espère pouvoir en profiter pour courir un peu!

Running et pointes sèches

Mes cheveux ce sont mes chouchous. Pour les avoir longs j’ai dû lutter, résister à l’appel du ciseau, survivre à la chaleur de l’été, endurer les nœuds, me méfier des fermetures éclaires etc… Par miracle ils ont survécu à toutes ces épreuves et aujourd’hui je les chouchoutes.

femme-ciseaux-cheveux
Bien sur je sais que si un mec passe par là, il va se dire « mais elle est con, les cheveux ça poussent tout seul, ça pousse trop vite même. Moi j’ai pas besoin de résister à l’appel du ciseau, je ne vais chez le coiffeur que quand on me force. » Mais sachez, Messieurs, que ce n’est pas si évident que ça.
Bref, tout ça pour vous dire que pour moi il est primordial de protéger mes cheveux pendant que je fais du sport.

Avant le running

Rien de plus mauvais que les cheveux libres aux vents qui s’entrechoquent à chaque foulée. Le frottement des fourches entres-elles a pour effet de les multiplier. Donc pour partir courir, il faut partir les cheveux bien attachés. Une natte ou un chignon mais jamais une simple queue de cheval. J’ai mal aux cheveux quand je vois les pointes des autres coureuses devant moi s’ébattent sans entrave.
Juste avant de partir j’en profite également pour enduire mes pointes d’un peu d’huile d’argan, ça les protège et les nourris (et au moins je ne suis pas incommoder par l’odeur de l’huile).

Pendant le running

Rien à faire de particulier pendant la course, de toute manière on a bien d’autres chats à fouetter!

Après le running

La grande question en arrivant à la maison est : je lave mes cheveux ou non ?
Pour ma part, je me lave les cheveux 2 ou 3 fois par semaine. J’ai réduit au maximum les shampoings pour plusieurs raisons, déjà parce que ça prends du temps, (surtout en hiver là où le passage au sèche cheveux est systématique), mais également parce que ça les fragilise. J’ajouterai également l’argument de poids : plus on lave ses cheveux et plus ils regraissent vite. J’ai eu une période où j’étais obligée de les laver tous les matins si je voulais éviter la sensation huile de friture. Il m’a fallu près d’un an pour réussir à espacer de deux jours chaque shampoing. Alors à présent lorsque je reviens de courir je ne fonce pas sous tête baissée la douche. (Si si j’étais obligée de la placer…).

Si ma séance de running est trop rapprochée d’un précédent shampoing j’utilise un shampoing sec. Le shampoing sec est une REVOLUTION ! Je ne compte pas les matins où j’ai du sortir de chez moi en sachant pertinemment que mes cheveux étaient horribles mais que je n’avais pas le temps de les laver. Maintenant si je le moindre doute un petit coup de bombe et c’est oublié!
batiste
J’ai testé différentes marques (saint algue syoss, garnier etc). Je vous recommande la marque « batiste », c’est de loin la plus efficace et j’ai l’impression que le flacon dure plus longtemps (le Garnier n’a fait que 4 shampoings…). Le seul défaut que je relève concernant les shampoings secs c’est le petit effet grisonnant dû à la poudre blanche qui reste un peu sur les cheveux. J’ai vu que plusieurs marques lançaient des flacons avec des poudres colorés (blonde ou brune), ça sera mon prochain achat. Si vous n’avez pas encore testé, je vous le conseille vraiment, pour moins de 5€ vous verrez votre vie changer 😀

Semaine du 8 au 14 décembre

Semaine très très légère sportivement parlant. Peut-être le contre-coup de ma folle semaine dernière (comment ça j’exagère ?)

Dimanche : Repos (enfin fête des lumières mais je ne suis pas certaine de pourvoir le compter dans la catégorie sport)
Lundi : Repos
Mardi : Repos
Mercredi : Gym
Jeudi : CAF (Cuisses-abdos-fessiers) aie aie énorme courbatures de la veille.
Vendredi : Repos
Samedi : je n’aurais pas le temps, alors repos!

Bon c’est vraiment léger, je ne suis pas trop fière de moi. Je ne suis pas aller courrir une seule fois, je n’aime pas trop courrir la nuit et ce weekend je n’aurai pas le temps. Je me rattraperai pendant les vacances !

Semaine du 2 au 7 Décembre

Le bilan de cette 3ème semaine est exceptionnel. Je suis allée 4 fois à la salle de gym, chose qui n’était jamais arrivée depuis mon inscription au club !

Petit récap :

Dimanche : Repos ( Oui, en weekend dans le jura je n’allais quand même pas m’aventurer dehors avec toute cette neige!)

Lundi: Gym (45min)

Mardi : Repos

Mercredi :  Gym (45min) + Running (4,1km  en 30min) : Je n’aime pas courir seule le soir, alors j’ai traîné l’homme à la session running. Mais l’homme n’est pas fait pour le running, il a passé une bonne partie du temps à cracher ses poumons, avoir mal au mollet etc… mais il a fini le tour c’est l’essentiel! Mais bon je ne suis pas certaine qu’il se laisse entrainer une autre fois!

Jeudi :  Streching (1h)

Vendredi : Gym (45min) : ouch ouch. Va savoir pourquoi le prof /coach / intervenant (je ne sais pas quel est le mot en fait !) s’était mis en tête de nous faire un cour à la mode entrainement militaire… Je suis ressorti avec les abdos et les pectoraux en compote!

Samedi :  Running (6.7km en 42min) Quel plaisir de se faire insulter par une bande de c*n*rd pendant que tu coures. J’ai hésité à les rembarrer avec un truc du style « te pousses pas ça ne me dérange pas de marcher sur une merde », mais non : trop peur de me faire agresser ensuite. En tout cas ça ne m’a pas empêcher de me dépenser pendant cette séance, j’ai battu à la fois mes records de durée et de distance ! \o/

Une belle petite semaine sportive, faire mieux s’annonce difficile !

Lecture : Ikebukuro west gate park

ikebukuroComme beaucoup, j’ai grandi en regardant des dessins animés japonais et en lisant des mangas. Même si je ne lis plus de mangas depuis bien longtemps, j’ai gardé une petite sensibilité pour tout ce qui touche au Japon.

Lors d’une de mes nombreuses expéditions à la bibliothèque, mon attention a été attirée par ce livre  seul en bout de rayon : Ikebukuro west gate park.
Ce qui m’a attiré ? Le titre je pense, le nom Ikebukuro a probablement du faire remonter à la surface de vieux souvenirs. Après une rapide lecture du résumé (mouais…), j’ai décidé de l’emprunter ( rien à perdre après tout! ).

A la lecture des premières pages on est immédiatement plongé dans l’univers de Makoto, jeune habitant du quartier Ikebukuro de Tokyo qui ne sait pas quoi faire de ses journées. L’ennuie de Makato est rapidement brisé par une série d’agressions attribuées à « L’étrangleur », il va alors se mettre à la recherche de l’agresseur.

Le livre est constitué de plusieurs petit chapitre racontant chacun un épisode de la vie de Makato. On croise dans chacune de ces petites histoires de nombreux personnages qui gravitent autour de l’enquête centrale, certains réapparaissent dans plusieurs chapitres.

J’ai beaucoup apprécié ces petites histoires, on découvre la vie japonaise sous un nouveau jour, Tokyo n’est pas uniquement la mégalopole peuplé de salaryman et de kogaru. Les enquêtes de Makato sont bien écrite, parfois cousu de fil blanc mais la lecture est sympathique.

En bref c’est un très bon livre dans lequel on se plonge facilement si on a un tout petit peu de temps.